mardi 2 janvier 2018

Rituel de magie à Plutus pour attirer l'argent et apporter l'abondance.


Voici un petit rituel de magie tout simple, pour attirer l'argent et apporter l'abondance.

Munissez-vous :
- 1 pot remplit de terre
- 5 pièces de monnaie de valeurs diverses (peu importe le montant)
- 1 verre d'eau
- 1 papier blanc sur lequel vous écrirez :

"Plutus, je t'invoque afin que tes bienfaits amènent l'abondance dans ma demeure et sur ma personne"

Enterrez vos pièces de monnaies et ce papier dans le pot entre 20 heure et 24 heure, un jeudi.

Arrosez-le tous les soirs entre 20 heure et 24 heure, pendant 7 jours.

Déterrez ensuite les pièces et rangez-les en les éparpillant dans votre habitation, gardez une pièce sur vous dans votre porte-monnaie.

Magie verte - Rituel pour assurer une bonne croissance à vos plantes


Voici un petit rituel qui vous aidera à faire pousser vos plantes, qu'elles soient d'extérieur ou d'intérieur.

Munissez-vous de :

- 1 bougie verte
- De l'encens de violette ou de rose
- De l'eau
- Quelques gouttes d'eau de rose ou de lavande
- 1 vaporisateur

Allumez la bougie verte et l'encens
Mettez de l'eau dans le vaporisateur
Versez quelques gouttes d'eau de rose (3 ou 4) ou de lavande dans le vaporisateur.
Vaporisez cette eau parfumée sur vos plantes en disant:

"Entités de la nature, cette boisson parfumée est pour vous
Qu'elle vous aide à soigner mes plantes et mes fleurs
Je vous remercie de vos bienfaits"

Laissez se consumer la chandelle et l'encens jusqu'au bout.

LA LUNE




La symbolique lunaire

La lune est chargée de symbolisme. Elle est l’opposé du soleil qui est chaud, sec, actif et positif. 
Dans de nombreuses cultures le soleil est rattaché au masculin, tandis que la lune est, quant à elle, négative, passive, humide, froide et féminine. Chez les Incas, la lune était d’ailleurs considérée comme « la femme du soleil ».

D’autre part, la lune est souvent mise en rapport avec le corps et divers aspects de la sexualité humaine, à l’instar du soleil qui figure l’esprit.

De l’observation de l’aspect cyclique de la lune a souvent découlé, par analogie, les cycles du monde vivant et des humains en particulier.

La lune est souvent associée à la mort. Aussi, l’aspect évolutif des phases de la lune fait-elle de celle-ci un symbole de transformation et de métamorphose. On peut prendre l’exemple des loups-garous (terme apparu au XII ème siècle) et des vampires ou encore des métamorphoses de l’individu normal (excitation, colère, violence…)

Au niveau symbolique, on a également l’opposition, bien connue, entre nature et culture. On peut cependant avancer que l’explication serait que la femme est plus proche de la nature et l’homme de la culture



Les croyances lunaires

Concernant le caractère et l’esprit, la pleine lune aurait une action sur les émotions et l’humeur. En effet, elle favoriserait l’irritabilité, l’excitabilité, la colère, la violence, la mélancolie et serait capable de mener à la folie ou au crime.

Pour illustration, les Grecs de l’antiquité nommaient les malades mentaux et les épileptiques « séléniaques » de senelê : la lune. On trouve aussi cette référence dans les cultures européennes avec les « lunatiques » d’origine latine.

Au niveau du corps, la pilosité (les cheveux en particulier) et la pousse des ongles seraient traditionnellement influencés par la lune.

On prête également à la lune une action sur le rythme biologique dans son ensemble (circulation du sang, infections, verrues, affections respiratoires, troubles de la vue....)

Les influences physiologique semblent se partager entre effets positifs et effets négatifs. En effet, si la lune est généralement tenue pour responsable d’impacts néfastes, sa plénitude est parfois associée à la guérison de telle ou telle maladie. Aussi, dès le moyen âge en Europe, on dit qu’elle aurait un impact positif sur le désir sexuel de l’homme et sur la qualité de son sperme. De la même façon, les menstruations féminines sont mises en parallèle avec la périodicité lunaire tout comme la grossesse et les accouchements.



La Lune et la médecine populaire

Contre les verrues

Au temps de Pline, on disait qu’il suffisait de s’allonger sur un sentier, le visage tourné vers une lune de 20 jours, pour guérir de ses verrues en les frottant avec le premier objet que l’on trouvait. On pouvait également guérir de ce mal en se frottant les mains au clair de lune. En Bretagne, on disait « Salut Pleine Lune, prends ces verrues et emporte les loin d’ici ».

Contre les maux de dents

Pour enlever les maux de dents, il suffit de s’écrier : « Ah, qu’il est beau ! » lorsqu’on aperçoit le nouveau croissant de Lune. On doit ensuite prendre un peu de boue sous sa chaussure gauche et la porter à sa bouche.

Contre la surdité

Les sourds pourraient recouvrer une ouïe normale en regardant la Lune tout en récitant trois Pater et trois Ave en l’honneur de Ste Appoline. 

Contre l’épilepsie

En Italie, on guérirait l’épilepsie en citant 3 Pater dès que l’on voit la nouvelle Lune

Contre les scrofules (Hypertrophie des ganglions lymphatiques, d'origine inflammatoire ou tumorale)

En Sicile, les scrofuleux doivent s’agenouiller devant la pleine Lune et frictionner la partie de leur corps malade en récitant «  Ronde pleine Lune, nettoie cette gorge, nettoie-là tout autour, afin qu’à ton retour tu ne trouves plus les racines du mal. »

Voici le lien d'un de mes anciens articles afin de vous expliquer l'importance et les différentes phases de la Lune en magie :

Voici un autre lien d'un rituel lunaire assez simple qui vous permettra de vous placer sous la protection de la Lune :

lundi 1 janvier 2018

La Cafédomancie et la thédomancie

La Cafédomancie ou la divination dans le marc de café.




Cette mancie ancienne fut célèbre et largement utilisée que ce soit au sein des harems comme à la cour des Tsars.

Matériel nécessaire

Pour chaque personne, prévoir :
- Une tasse blanche
- Une soucoupe blanche
- Une casserole
- Une spatule en bois
- Une cuillère de café très finement moulu
- Une cuillère de sucre (cristallisé si possible)
- La valeur d'une tasse d'eau

Préparation

- A froid, mélangez lentement dans la casserole, l’eau, le café et le sucre à l’aide de la spatule en pensant à la question posée.
- Portez trois fois à ébullition.
- Versez le café dans la tasse et le boire lentement en pensant à la question posée. Laissez quelques gouttes au fond de la tasse.
- Déversez ces gouttes dans la soucoupe. Inclinez-la et soufflez afin que le marc s’étale sur l’assiette.
- Patientez 30 minutes pendant lesquelles le marc va se reposer.
- Égouttez avec le plus grand soin.
- Si aucune figure n’apparaît, recommencez l’opération.
- Tracez une ligne horizontale que l’on appelle « le niveau des justes ». Les figures situées au dessus de cette ligne auront une puissance bien plus grande que celles en dessous.
- Examinez attentivement les formes qui s’affichent. N’hésitez pas à tourner la soucoupe car des figures peuvent être à l’envers. - Reportez vous à notre index pour interpréter votre destin.

A la fin de votre séance de cafédomancie, formulez un vœu tout en pressant légèrement votre index de la main gauche sur le fond de la tasse encore sale


INTERPRÉTATION

Index des formes et leur signification

Abeille : Réussite des projets, efforts récompensés.
Ancre : Voyage, relation avec l'étranger, renouveau.
Anneau : Satisfaction, bonheur, réalisation.
Araignée : Découverte, succès matériel et financier.
Arc : Fatigue, mauvaise nouvelle.
Avion : Départ précipité.
Baleine : Succès professionnel.
Bateau : Visite, harmonie sociale, entente.
Botte : Evolution positive, succès, réussite.
Bougie : Aides, soutiens.
Bouteille : Plaisirs.
Brouette : Complicité, aide amicale, fraternité.
Carré : Présents, cadeaux, confort matériel, sécurité financière.
Casserole : Incertitude, manque d'assurance.
Cercle: Rentrée d'argent.
Cercle avec des points dedans : Enfant, naissance.
Chapeau: Changement, renouveau.
Chat: Tromperie, hypocrisie.
Cheval: Amour, affection que l'on vous porte.
Ciseaux: Conflit, dispute, affrontement.
Clé: Opportunités.
Cœur: Grand bonheur en amour.
Couronne: Réussite dans tous les domaines.
Couteau: Nuisance, tromperie.
Croix: Problèmes de santé, difficultés matérielles et sociales, rupture, fin.
Echelle: Evolution, progression.
Etoile: Chance, changement bénéfique, réalisation des désirs.
Faucille: Déception sentimentale.
Fenêtre : Vol, escroquerie.
Feuille: Calme financier.
Flèche: Une nouvelle, lettre, coup de téléphone, message.
Fleur: Espoirs comblés.
Grenouille: Changement bénéfique, opportunité intéressante.
Hache: Difficultés à surmonter, problèmes à régler.
Lapin: Entêtement, volonté.
Ligne: Absence d’embûches, situation positive.
Livre: Conseil, soutient.
Losange : Grand bonheur en amour.
Main: Amitié féconde.
Montagne: Ambition récompensée.
Nuages : Ennuis, problèmes.
Œil: Clairvoyance, lucidité, discernement.
Œuf : Prospérité, réussite, renouveau fécond.
Oiseau : Bonheur, bien être, satisfaction.
Ondulation : Contretemps, imprévus.
Ovale : Réalisation des projets.
Papillon: Insouciance, inconstance.
Plume: Superficialité, frivolité.
Poisson : Profondeur des sentiments, amour durable.
Pomme: Triomphe professionnel ou financier.
Roue: Accident.
Serpent : Trahison, infidélité, conspiration.
Table: Invitation, réunion, satisfactions relationnelles.
Trèfle: Très grande chance.
Triangle: Stabilité professionnelle.
Visage: Personne influente.





La Thédomancie

Moins facile à interpréter parce que sans repère ni de temps ni de domaine (affectif, concret, etc) la thédomancie nous vient de l'Orient mystérieux et raffiné. C'est cependant un moyen de divination que vous aurez envie de tester car il est d'une grande simplicité dans sa préparation.

Il suffit en effet de verser directement de l'eau bouillante dans la tasse (blanche bien sûr), au fond de laquelle on aura disposé des feuilles de thé vert.

Attention ne buvez pas le thé immédiatement! En effet, les événements du futur proche se "lisent" directement dès l'ouverture des feuilles à la surface du liquide. (Essayez de repérer les dessins ou les lettres qu'elles peuvent indiquer). De petites bulles, qui se forment pendant la lecture, indiquent des surprises ou des cadeaux très proches.

 Après cette première lecture, on peut soit boire le thé, soit vider la tasse de son contenu liquide en prenant soin de laisser les feuilles à l'intérieur. Leur disposition permettra une seconde lecture (toujours basée sur les symboles des dessins formés par les feuilles) qui concernera davantage le futur lointain.


La classification des Esprits d'après Allan Kardec



La classification des Esprits d'après Allan Kardec (Le Livre des Esprits)

La classification des Esprits est basée sur le degré de leur avancement, sur les qualités qu'ils ont acquises et sur les imperfections dont ils ont encore à se dépouiller. Cette classification, du reste, n'a rien d'absolu; chaque catégorie ne présente un caractère tranché que dans son ensemble; mais d'un degré à l'autre la transition est insensible et, sur les limites, la nuance s'efface comme dans les règnes de la nature, comme dans les couleurs de l'arc-en-ciel, ou bien encore comme dans les différentes périodes de la vie de l'homme. On peut donc former un plus ou moins grand nombre de classes, selon le point de vue sous lequel on considère la chose. Il en est ici comme dans tous les systèmes de classifications scientifiques; ces systèmes peuvent être plus ou moins complets, plus ou moins rationnels, plus ou moins commodes pour l'intelligence; mais quels qu'ils soient, ils ne changent rien au fond de la science. Les Esprits interrogés sur ce point ont donc pu varier dans le nombre des catégories, sans que cela tire à conséquence. On s'est armé de cette contradiction apparente, sans réfléchir qu'ils n'attachent aucune importance à ce qui est purement de convention; pour eux, la pensée est tout: ils nous abandonnent la forme, le choix des termes, les classifications, en un mot, les systèmes.


Ajoutons encore cette considération que l'on ne doit jamais perdre de vue, c'est que parmi les Esprits, aussi bien que parmi les hommes, il en est de fort ignorants, et qu'on ne saurait trop se mettre en garde contre la tendance à croire que tous doivent tout savoir parce qu'ils sont Esprits. Toute classification exige de la méthode, de l'analyse et la connaissance approfondie du sujet. Or, dans le monde des Esprits, ceux qui ont des connaissances bornées sont, comme ici-bas les ignorants, inhabiles à embrasser un ensemble, à formuler un système; ils ne connaissent ou ne comprennent qu'imparfaitement toute classification quelconque; pour eux, tous les Esprits qui leur sont supérieurs sont du premier ordre, sans qu'ils puissent apprécier les nuances de savoir, de capacité et de moralité qui les distinguent, comme parmi nous un homme brut à l'égard des hommes civilisés. Ceux mêmes qui en sont capables peuvent varier dans les détails selon leur point de vue, surtout quand une division n'a rien d'absolu. Linné, Jussieu, Tournefort ont eu chacun leur méthode, et la botanique n'a pas changé pour cela; c'est qu'ils n'ont inventé ni les plantes, ni leurs caractères; ils ont observé les analogies d'après lesquelles ils ont formé les groupes ou classes, C'est ainsi que nous avons procédé; nous n'avons inventé ni les Esprits ni leurs caractères; nous avons vu et observé, nous les avons jugés à leurs paroles et à leurs actes, puis classés par similitudes, en nous basant sur les données qu'ils nous ont fournies



Les Esprits admettent généralement trois catégories principales ou trois grandes divisions. Dans la dernière, celle qui est au bas de l'échelle, sont les Esprits imparfaits, caractérisés par la prédominance de la matière sur l'esprit et la propension au mal. Ceux de la seconde sont caractérisés par la prédominance de l'esprit sur la matière et par le désir du bien : ce sont les bons Esprits. La première, enfin, comprend les purs Esprits, ceux qui ont atteint le suprême degré de perfection.
Cette division nous semble parfaitement rationnelle et présente des caractères bien tranchés ; il ne nous restait plus qu'à faire ressortir, par un nombre suffisant de subdivisions, les nuances principales de l'ensemble ; c'est ce que nous avons fait avec le concours des Esprits, dont les instructions bienveillantes ne nous ont jamais fait défaut. A l'aide de ce tableau, il sera facile de déterminer le rang et le degré de supériorité ou d'infériorité des Esprits avec lesquels nous pouvons entrer en rapport et, par conséquent, le degré de confiance et d'estime qu'ils méritent ; c'est en quelque sorte la clef de la science spirite, car il peut seul rendre compte des anomalies que présentent les communications en nous éclairant sur les inégalités intellectuelles et morales des Esprits. Nous ferons observer, toutefois, que les Esprits n'appartiennent pas toujours exclusivement à telle ou telle classe ; leur progrès ne s'accomplissant que graduellement, et souvent plus dans un sens que dans un autre, ils peuvent réunir les caractères de plusieurs catégories, ce qu'il est aisé d'apprécier à leur langage et à leurs actes.



PREMIER ORDRE. - PURS ESPRITS

Caractères généraux. Influence de la matière nulle. Supériorité intellectuelle et morale absolue par rapport aux Esprits des autres ordres.

Première classe. Classe unique. Ils ont parcouru tous les degrés de l'échelle et dépouillé toutes les impuretés de la matière. Ayant atteint la somme de perfection dont est susceptible la créature, ils n'ont plus à subir ni épreuves ni expiations. N'étant plus sujets à la réincarnation dans des corps périssables, c'est pour eux la vie éternelle qu'ils accomplissent dans le sein de Dieu. Ils jouissent d'un bonheur inaltérable, parce qu'ils ne sont sujets ni aux besoins ni aux vicissitudes de la vie matérielle ; mais ce bonheur n'est point celui d'une oisiveté monotone passée dans une contemplation perpétuelle. Ils sont les messagers et les ministres de Dieu dont ils exécutent les ordres pour le maintien de l'harmonie universelle. Ils commandent à tous les Esprits qui leur sont inférieurs, les aident à se perfectionner et leur assignent leur mission. Assister les hommes dans leur détresse, les exciter au bien ou à l'expiation des fautes qui les éloignent de la félicité suprême, est pour eux une douce occupation. On les désigne quelquefois sous les noms d'anges, archanges ou séraphins.
Les hommes peuvent entrer en communication avec eux, mais bien présomptueux serait celui qui prétendrait les avoir constamment à ses ordres.

SECOND ORDRE. - BONS ESPRITS

Caractères généraux. Prédominance de l'esprit sur la matière ; désir du bien. Leurs qualités et leur pouvoir pour faire le bien sont en raison du degré auquel ils sont parvenus : les uns ont la science, les autres la sagesse et la bonté ; les plus avancés réunissent le savoir aux qualités morales. N'étant point encore complètement dématérialisés, ils conservent plus ou moins, selon leur rang, les traces de l'existence corporelle, soit dans la forme du langage, soit dans leurs habitudes où l'on retrouve même quelques-unes de leurs manies ; autrement ils seraient Esprits parfaits. Ils comprennent Dieu et l'infini, et jouissent déjà de la félicité des bons. Ils sont heureux du bien qu'ils font et du mal qu'ils empêchent. L'amour qui les unit est pour eux la source d'un bonheur ineffable que n'altèrent ni l'envie, ni les remords, ni aucune des mauvaises passions qui font le tourment des Esprits imparfaits, mais tous ont encore des épreuves à subir jusqu'à ce qu'ils aient atteint la perfection absolue.
Comme Esprits, ils suscitent de bonnes pensées, détournent les hommes de la voie du mal, protègent dans la vie ceux qui s'en rendent dignes, et neutralisent l'influence des Esprits imparfaits chez ceux qui ne se complaisent pas à la subir.
Ceux en qui ils sont incarnés sont bons et bienveillants pour leurs semblables ; ils ne sont mus ni par l'orgueil, ni par l'égoïsme, ni par l'ambition ; ils n'éprouvent ni haine, ni rancune, ni envie, ni jalousie et font le bien pour le bien.
A cet ordre appartiennent les Esprits désignés dans les croyances vulgaires sous les noms de bons génies, génies protecteurs, Esprits du bien. Dans les temps de superstitions et d'ignorance on en a fait des divinités bienfaisantes.
On peut les diviser en quatre groupes principaux :

Cinquième classe: ESPRITS BIENVEILLANTS: Leur qualité dominante est la bonté ; ils se plaisent à rendre service aux hommes et à les protéger, mais leur savoir est borné : leur progrès s'est plus accompli dans le sens moral que dans le sens intellectuel

Quatrième classe: ESPRITS SAVANTS: Ce qui les distingue spécialement, c'est l'étendue de leurs connaissances. Ils se préoccupent moins des questions morales que des questions scientifiques, pour lesquelles ils ont plus d'aptitude ; mais ils n'envisagent la science qu'au point de vue de l'utilité et n'y mêlent aucune des passions qui sont le propre des Esprits imparfaits.

Troisième classe: ESPRITS SAGES: Les qualités morales de l'ordre le plus élevé forment leur caractère distinctif. Sans avoir des connaissances illimitées, ils sont doués d'une capacité intellectuelle qui leur donne un jugement sain sur les hommes et sur les choses.

Deuxième classe: ESPRITS SUPERIEURS: Ils réunissent la science, la sagesse et la bonté. Leur langage ne respire que la bienveillance ; il est constamment digne, élevé, souvent sublime. Leur supériorité les rend plus que les autres aptes à nous donner les notions les plus justes sur les choses du monde incorporel dans les limites de ce qu'il est permis à l'homme de connaître. Ils se communiquent volontiers à ceux qui cherchent la vérité de bonne foi, et dont l'âme est assez dégagée des liens terrestres pour la comprendre ; mais ils s'éloignent de ceux qu'anime la seule curiosité, ou que l'influence de la matière détourne de la pratique du bien.
Lorsque, par exception, ils s'incarnent sur la terre, c'est pour y accomplir une mission de progrès, et ils nous offrent alors le type de la perfection à laquelle l'humanité peut aspirer ici-bas.

TROISIEME ORDRE. - ESPRITS IMPARFAITS

Caractères généraux. Prédominance de la matière sur l'esprit. Propension au mal. Ignorance, orgueil, égoïsme et toutes les mauvaises passions qui en sont la suite. Ils ont l'intuition de Dieu, mais ils ne le comprennent pas. Tous ne sont pas essentiellement mauvais ; chez quelques-uns, il y a plus de légèreté, d'inconséquence et de malice que de véritable méchanceté. Les uns ne font ni bien ni mal ; mais par cela seul qu'ils ne font point de bien, ils dénotent leur infériorité. D'autres, au contraire, se plaisent au mal, et sont satisfaits quand ils trouvent l'occasion de le faire. Ils peuvent allier l'intelligence à la méchanceté ou à la malice ; mais, quel que soit leur développement intellectuel, leurs idées sont peu élevées et leurs sentiments plus ou moins abjects. Leurs connaissances sur les choses du monde spirite sont bornées, et le peu qu'ils en savent se confond avec les idées et les préjugés de la vie corporelle. Ils ne peuvent nous en donner que des notions fausses et incomplètes ; mais l'observateur attentif trouve souvent dans leurs communications, mêmes imparfaites, la confirmation des grandes vérités enseignées par les Esprits supérieurs.
Leur caractère se révèle par leur langage. Tout Esprit qui, dans ses communications, trahit une mauvaise pensée, peut être rangé dans le troisième ordre ; par conséquent, toute mauvaise pensée qui nous est suggérée nous vient d'un Esprit de cet ordre. Ils voient le bonheur des bons, et cette vue est pour eux un tourment incessant, car ils éprouvent toutes les angoisses que peuvent produire l'envie et la jalousie. Ils conservent le souvenir et la perception des souffrances de la vie corporelle, et cette impression est souvent plus pénible que la réalité. Ils souffrent donc véritablement, et des maux qu'ils ont endurés et de ceux qu'ils ont fait endurer aux autres ; et comme ils souffrent longtemps, ils croient souffrir toujours ; Dieu, pour les punir, veut qu'ils le croient ainsi. On peut les diviser en cinq classes principales.

Dixième classe: ESPRITS IMPURS: Ils sont enclins au mal et en font l'objet de leurs préoccupations. Comme Esprits, ils donnent des conseils perfides, soufflent la discorde et la défiance, et prennent tous les masques pour mieux tromper. Ils s'attachent aux caractères assez faibles pour céder à leurs suggestions afin de les pousser à leur perte, satisfaits de pouvoir retarder leur avancement en les faisant succomber dans les épreuves qu'ils subissent.
Dans les manifestations, on les reconnaît à leur langage ; la trivialité et la grossièreté des expressions, chez les Esprits comme chez les hommes, est toujours un indice d'infériorité morale, sinon intellectuelle. Leurs communications décèlent la bassesse de leurs inclinations, et s'ils veulent faire prendre le change en parlant d'une manière sensée, ils ne peuvent longtemps soutenir leur rôle et finissent toujours par trahir leur origine.
Certains peuples en ont fait des divinités malfaisantes, d'autres les désignent sous les noms de démons, mauvais génies, Esprits du mal.
Les êtres vivants qu'ils animent, quand ils sont incarnés, sont enclins à tous les vices qu'engendrent les passions viles et dégradantes : la sensualité, la cruauté, la fourberie, l'hypocrisie, la cupidité, l'avarice sordide. Ils font le mal pour le plaisir de le faire, le plus souvent sans motifs, et par haine du bien ils choisissent presque toujours leurs victimes parmi les honnêtes gens. Ce sont des fléaux pour l'humanité, à quelque rang de la société qu'ils appartiennent, et le vernis de la civilisation ne les garantit pas de l'opprobre et de l'ignominie.

Neuvième classe: ESPRITS LEGERS: Ils sont ignorants, malins, inconséquents et moqueurs. Ils se mêlent de tout, répondent à tout, sans se soucier de la vérité. Ils se plaisent à causer de petites peines et de petites joies, à faire des tracasseries, à induire malicieusement en erreur par des mystifications et des espiègleries. A cette classe appartiennent les Esprits vulgairement désignés sous les noms de follets, lutins, gnomes, farfadets. Ils sont sous la dépendance des Esprits supérieurs, qui les emploient souvent comme nous le faisons des serviteurs.
Dans leurs communications avec les hommes, leur langage est quelquefois spirituel et facétieux, mais presque toujours sans profondeur ; ils saisissent les travers et les ridicules qu'ils expriment en traits mordants et satiriques. S'ils empruntent des noms supposés, c'est plus souvent par malice que par méchanceté.

Huitième classe: ESPRITS FAUX-SAVANTS: Leurs connaissances sont assez étendues, mais ils croient savoir plus qu'ils ne savent en réalité. Ayant accompli quelques progrès à divers points de vue, leur langage a un caractère sérieux qui peut donner le change sur leurs capacités et leurs lumières ; mais ce n'est le plus souvent qu'un reflet des préjugés et des idées systématiques de la vie terrestre ; c'est un mélange de quelques vérités à côté des erreurs les plus absurdes, au milieu desquelles percent la présomption, l'orgueil, la jalousie et l'entêtement dont ils n'ont pu se dépouiller.

Septième classe: ESPRITS NEUTRES: Ils ne sont ni assez bons pour faire le bien, ni assez mauvais pour faire le mal ; ils penchent autant vers l'un que vers l'autre et ne s'élèvent pas au-dessus de la condition vulgaire de l'humanité tant pour le moral que pour l'intelligence. Ils tiennent aux choses de ce monde dont ils regrettent les joies grossières.

Sixième classe: ESPRITS FRAPPEURS ET PERTURBATEURS: Ces Esprits ne forment point, à proprement parler, une classe distincte eu égard à leurs qualités personnelles ; ils peuvent appartenir à toutes les classes du troisième ordre. Ils manifestent souvent leur présence par des effets sensibles et physiques, tels que les coups, le mouvement et le déplacement anormal des corps solides, l'agitation de l'air, etc.. Ils paraissent, plus que d'autres, attachés à la matière ; ils semblent être les agents principaux des vicissitudes des éléments du globe, soit qu'ils agissent sur l'air, l'eau, le feu, les corps durs ou dans les entrailles de la terre. On reconnaît que ces phénomènes ne sont point dus à une cause fortuite et physique, quand ils ont un caractère intentionnel et intelligent. Tous les Esprits peuvent produire ces phénomènes, mais les Esprits élevés les laissent en général dans les attributions des Esprits subalternes, plus aptes aux choses matérielles qu'aux choses intelligentes. Quand ils jugent que des manifestations de ce genre sont utiles, ils se servent de ces Esprits comme auxiliaires

Le ouija ou la technique du verre



Le procédé du ouija remonte au VIe siècle avant J.C.: c'est en effet Pythagore qui, le premier, créa une planche munie de roulettes qu'il déplaçait sur une pierre plate comportant des symboles ésotériques qu'il interprétait dans un but divinatoire.



Les participants se tiennent assis autour d'une table sur laquelle est posée une planche marquées des lettres de l'alphabet.
Au-dessus de la planche est posé un petit triangle en bois (ou un verre retourné). Les participants approchent leurs doigt du triangle (ou du verre) jusqu'à l'effleurer.

L'énergie supposée des médiums sert alors aux esprits pour déplacer l'objet vers les lettres, afin de constituer des mots et des phrases. Les participants entraînés pourraient éloigner leur main de l'objet, qui se déplacerait alors sans aucun contact.

Cette méthode est réputée demander beaucoup d'énergie au médium qui ressent souvent de la fatigue. Par conséquent, les pratiquants réguliers choisissent de l'éviter.

Rituel pour vous fabriquer un bijou de protection


Placez un bijou dans une coupe d'eau la veille de la pleine Lune. Le lendemain, soir de la pleine Lune, remuez l'eau trois fois avec votre doigt en suivant le sens des aiguilles d'une montre. Prenez la coupe dans vos mains et marchez en rond dans la pièce, en complétant trois tours, toujours dans le sens des aiguilles d'une montre.

Dites ensuite ces mots:

"Ô lumière de la Lune
Enveloppe-moi
Protège-moi
Nuit et jour."


Buvez l'eau et retirez ensuite votre bijou de la coupe. Vous devez le porter jusqu'à la prochaine pleine lune afin d'assurer votre protection.

Recommencez le rituel tous les mois pour profiter de cette influence.

Rituel pour faire taire les médisances



Voici un rituel qui vous aidera à faire taire les médisances.

Ce rituel doit se pratiquer un dimanche.

Munissez-vous de :
-Une bougie dorée ou blanche 
- Encens de lavande 
- Feuille de papier

Rituel: 

Allumez la bougie et l'encens. Inscrivez le nom de la personne sur le papier. Passez la feuille au-dessus de la fumée de l'encens.Dites 7 fois:

"(Nom de la personne), il est temps de te taire. Cesse de médire et de répandre des mensonges. Que tes paroles méchantes et blessantes ne franchissent plus tes lèvres. Qu'il en soit ainsi"

Faites brûler entièrement la feuille puis enterrez les cendres.